Cette place de la psychanalyse dans la médecine, je voudrais aujourd’hui la considérer du point de vue du médecin et du très rapide changement qui est en train de se produire dans ce que j’appellerai la fonction du médecin, et dans son personnage puisqu’aussi bien c’est là un élément important de sa fonction.
Dans l’Antiquité, le désir était circonscrit au Discours du maître et il devait être conforme à la morale des dominants. C’est avec Freud au début du siècle dernier, que le désir a pu s’expri
Primum non nocere – tel était le principe dont pendant des siècles le médecin mesurait son action. Ne pas nuire à quoi ? Là où le conflit est essentiel, comment le psychanalyste ne vacillerait-i
C’est un trou, c’est quelque chose qui est la limite de l’analyse. Ça a évidemment quelque chose à faire avec le Réel, qui est un réel parfaitement dénommable d’une façon qui est de pur fait.
