À l’heure où tous les canaux de l’information et de la communication, la presse, les mass- médias, les magazines, les journaux, les réseaux sociaux, les plateaux de télévision ne cessent de se gargariser sur les qualités de l’expertise, se pressant, s’abritant derrière leurs sentences1 et ne jurant que par l’entremise de ses verdicts ( « je parle sous le contrôle d’un expert, je m’adresse à vous, car j’ai besoin de votre expertise » ), il pourrait apparaître de salubrité publique de retourner, freudiennement2 parlant, à La question de l’analyse profane.
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